LE MAGAZINE

Au cours des premières années du club, le magazine, initialement intitulé La Lettre, a évolué pour devenir Fessée-Magazine, puis Fessée-Mag, avant d’adopter son dernier nom, Le P’tit Fessé, en référence à son format réduit. Ce magazine, associé au fichier, constituait l’un des deux piliers essentiels du club. Avec l’avènement d’Internet, ce dernier a toutefois disparu.
 
Voici un aperçu de quelques éditoriaux et sujets de ce magazine, qui nous demandait un investissement de temps considérable.

Voici la première lettre du CLEF, elle portait modestement le n° 0

OCTOBRE 1988
LA LETTRE INTIME DU CLEF
La lettre du mois
CONSEILS D’UN FESSEUR

Exemple : magazine 39
Magazine n°49

I) DÉFINITION ET MÉTHODE:

La fessée est une correction appliquée ou reçue sur les fesses.

Dans l’idée qu’un adulte peut se faire du mot « correction » (il faut le mettre entre guillemets car il ne s’agit pas d’un châtiment comme on l’administre à un enfant, bien. que psychiquement il y fasse référence, mais d’une Jouissance grâce à ce procédé).

Elle doit donc être appliquée sur les fesses, étendue éventuellement aux cuisses et aux reins.

Un idée domine: le fessé aime s’exhiber devant son fesseur et souvent devant des tiers. D’où son désir de se faire déculotter par le fesseur pour jouir de la descente de la culotte et du slip qui libère ainsi la partie du corps qu’il exhibe.

Il est donc recommandé de laisser un certain temps d’attente avant le déculottage pour faire monter le désir. Certains fessés demandent à être mis « cul nu » dans l’espoir que le fesseur retardera l’acte pour jouir davantage: rien ne fait plus plaisir que l’attente d’être fessé à « cul nu ».

Dans la fessée classique (sur les genoux du fesseur) il est nécessaire que la tète soit plus basse que les fesses et que celles-ci soient bien tendues. Remarque également valable dans le cas où le fessé est couché (sur une table par exemple on peut mettre des coussins sous le ventre).

La violence de la fessée doit être proportionnelle à la résistance à la douleur du fessé.

Fermeté du fesseur + résistance du fessé = Jouissance du fessé.

Le fesseur doit savoir équilibrer son acte suivant les réactions du fessé.

Pour le fessé, il 1 faut pousser Ia souffrance au maximum en respectant une progression dans l’administration de la fessée.

Les fessées sont ordinairement sèches mais on peut les mouiller soit naturellement (sous la pluie, la douche…) soit en mouillant les instruments.

Pendant la fessée, le fessé peut se masturber ou non (en fonction de la position et de l’autorisation du fesseur).

II) LES POSITIONS:

A) Position classique sur les genoux du fesseur ou sur un genou, jambe posée sur un tabouret.
Position très agréable pour le fessé surtout au début de l’opération car elle met en « branle » son subconscient par références aux fessées enfantines et scolaires.

B) Sous un bras si le fesseur est costaud: fessée tète baissée et fesses en l’air tendues. Le fessé n’a plus d’appui sur le sol. Ses fesses sont alors proches des yeux du fesseur. Éventuellement le fessé peut.prendre appui des mains sur un meuble pour éviter le déséquilibre et un tiers peut parfois participer en tenant les jambes;

C) Sur une table:
– Le corps est plié, les pieds touchent le sol,
– Allongé sur une table, ventre soulevé par des coussins
(position très agréable surtout s’il y a du public).
– Allongé sur une table pieds et/ou mains liés: le fessé ressent alors une légère angoisse car il est alors à la merci du fesseur. Position délicate, agréable, mais qui implique une parfaite entente entre fesseur et fessé.

D) Sur un lit, attaché ou non: la position est plus moelleuse.

E) Sur un tabouret, fauteuil, chevalet …

F) Debout sur une table: les fesses sont alors à la hauteur du fesseur qui administre la fessée verticalement et peut jouer avec son sexe.

G) genoux tête contre sol: les fesses sont tellement tendues que la correction est souvent douloureuse.

H) Couché par terre, mains et chevilles peuvent être liées (où poignets dans le dos). Cela permet au fessé de se tordre et de recevoir fouet ou martinet dans tous les sens.

I) Pour spécialistes: suspendu à potence ou poutre.

J) Fessée dans la nature, attaché ou non à un arbre,

 

III) LES INSTRUMENTS:

A) La main: mais une seule est préférable au tapotement avec les deux (ne pas oublier que le fessé doit se rappeler ses souvenirs d’enfance et qu’un père ou un maître d’école ne fesse qu’avec une seule main).

B) Le martinet: avec ou sans nœud.. Attention selon l’épaisseur des lanières et la force d’exécution les martinets laissent souvent des traces qui peuvent durer plusieurs jours.

C) Les verges: faites de brindilles ou petites baguettes (genre support plantes vertes). Elles font beaucoup penser à la fessée d’écolier

D) Les cravaches: instrument redoutable et qui peut faire très mal.

E) La règle ordinaire: peut faire mal et laisse des traces.

F) La règle plate: rougit les fesses mais ne laisse pas de trace .

G) Le fouet: lorsque le fessé est en position verticale ou a allongé sur le sol.

H) La serviette mouillée: redoutable si elle a des franges.

I) Les orties: piqures et cloques causent des démangeaisons qui durent plusieurs heures voir plusieurs jours. Belle jouissance pour les habitués surtout si le martinet suit.

J) La brosse en chiendent: attention les pointes piquent la peau et peuvent faire sortir quelques gouttes de sang.

K) La canne: très douloureuse car rigide.

IV) CONCLUS!ON:

Rien n’est plus agréable pour le fessé que de savoir qu’à l’issue de la correction les fesses deviendront rouges et qu’un tiers aura vu évoluer leurs couleurs dans le trémoussement et la jouissance librement consentie du fessé.

V) UN DERNIER CONSEIL AU FESSEUR:

Outre son dialogue permanent avec le fessé, faire en sorte de bien appliquer les instruments et notamment le martinet sur les fesses en évitant autant que faire se peut les os des hanches.