LES AVENTURES DE CYRIL
5 épisode - décembre 1999
Sa quatrième aventure remonte au samedi 4 décembre 1999
Bonjour, c’est Cyril, vous vous souvenez de moi ? Je vous avais raconté mon dernier repas du 5 décembre 98 avec mon ami Éric. Comment je vais ? bien, merci mais mon ami s’est découvert une passion pour la fessée et que j’en profite un maximum. Voilà deux mois qu’il me parle de cette soirée militaire, et que je me prépare à déguster le repas spécial de votre club. Nous devons y rejoindre deux amis : Pascal qui s’habitue aux fessées de Tony.
A dix-sept heures, mon ami prend son costume militaire et me demande de me préparer. Je lui fais aimablement remarquer que nous sommes dans le 18éme et qu’il ne faut pas cinq heures pour aller à cette soirée. Il me lance alors, avec ce sourire qui m’angoisse à chaque fois, que je suis avec Pascal serveur. La salive me reste alors bloquée au fond de la gorge, des picotements aux fesses se manifestent, et mes jambes tremblent comme ceux de mon grand-père lorsqu’il monte l’escalier pour atteindre sa chambre. Je lui dis que ce n’est pas possible, d’abord parce que je n’ai pas fait mon service militaire, que je n’ai pas de tenue et de slip blanc, que j’ai depuis ce matin un bouton à la fesse gauche qui ne vas pas faire joli, et que…
Et me voilà en train de manger avec les autres serveurs. Un monsieur très excité (un voisin le trouve plus calme que d’habitude) nous raconte le déroulement de la soirée. Il va à droite, à gauche, fait des grands gestes, sautille sur place. Bref, je ne comprends rien à ce qu’il dit tellement j’angoisse sur les heures futures. Puis, un autre garçon, un peu plus grand et très beau nous propose gentiment d’essayer nos uniformes. Je retire mon pantalon et j’essaye d’attirer l’attention de celui qui parle vite sur mon caleçon à fleur. Cela n’a pas tardé ! il s’approche et me demande : « Qu’est-ce que c’est que ce truc ! ». Je dois l’avouer, j’ai mis du temps à le trouver en espérant que cela me ferait réformer, quitte à prendre une bonne fessée par Éric.




Hélas, à peine remis de ces émotions, le monsieur qui parle vite me tend un slip blanc à poche. En glissant mon dernier rempart, il me dit que c’était quand même dommage de cacher d’aussi belles fesses avec cette horreur. Une claque amicale, mais pas timide, me fait dépêcher de mettre le treillis pour apaiser les instincts de ce garçon.
Nous sommes tous en rang et nous attendons l’ordre de rentrer dans la salle ou nous allons servir 160 personnes. Le monsieur qui parle vite, qui se nomme Erik, est habillé en général de brigade, le beau garçon, Nicolas, vêtu d’un uniforme de Colonel, et un troisième portant le grade de sergent-chef nous encadrent. Je n’ai pas fait mon service militaire, mais j’ai appris pour cette soirée les grades militaires en travers des genoux de mon ami.
Nous entrons, nous nous plaçons autours d’un podium. On nous ordonne de nous mettre au garde à vous. Le général et le colonel vont de table en table chercher les convives qui se trouvent habillés en officiers et commencent une revue de détails des soldats, c’est à dire nous. Un officier habillé en colonel fait un discours, puis avec les autres s’approchent de moi. Je répète que je n’ai pas fait l’armée, mais en regardant les films de guerre à la télévision, je n’ai jamais vu une revue de détails où les officiers tâtaient les couilles des soldats ! Mais si c’est vrai, je m’engage !
Le service commence et nous servons, torse nu, une salade de lentilles appelés sur le menu les yeux de l’adjudant. Puis, le sergent-chef, qui de temps en temps punit un serveur, nous demande de nous asseoir autour du podium pour regarder le premier strip-tease. Ça c’est sympa, d’abord parce que le mec est beau, et ensuite parce que mes fesses sont protégées !
Nous voilà en slip pour servir le plat principal, un bourguignon et une purée servi à la louche. A cause d’un morceau de purée perdu sur le treillis d’un convive, mes fesses ont été gratifiées d’une fessée par mon sergent-chef. C’est injuste dans la mesure où je n’aime pas la fessée et la purée ! Pendant ce temps, les responsables de l’association prenaient les commandes de fessées du menu spécial.
Les mains sur la tête, nous avons fait à nouveau le tour du podium avant de nous asseoir pour un second spectacle. Un dernier tour de salle (décidément ils aiment bien nous voir les mains sur la tête) et nous repartons dans les coulisses où, pendant que le bourguignon quittait les assiettes, quelques amusements entre nous nous récompensaient de notre travail. Cette pause serait très sympa si le sergent-chef ne nous flanquait pas des fessées à tout bout de champ !
Nous revoilà autours du podium et nous sommes dos au public. Notre général qui parle toujours aussi vite nous demande de baisser notre slip. Discipliné je descends le mien avec regret sachant les risques que cela peut provoquer. En regardant sur les côtés, je constate que les fesses de mes partenaires sont très rouges et qu’ils en sont ravis. Seuls trois mecs n’ont pas baissé leurs slips. Y aurait-il de la rébellion ? Je m’apprête à leur montrer ma solidarité en me penchant pour relever mon slip, ce qui bien sûr m’amène une superbe claque du sergent-chef sur la fesse droite. Mais voyant que l’un des garçons se retrouve sur les genoux du Général, je décide de stopper mon élan. Les fesses de ce superbe mec rougissent sous les regards complaisants des convives.


Je distribue le dessert avec mon ami Pascal. J’approche de la table de mon Maître qui gentiment me caresse les fesses. Connaissant ses habitudes, je devine que la fessée approche…
Enfin notre superbe général remercie les quinze serveurs pour leur bon travail qui ne mérite que de bonnes fessées, je ne comprendrai jamais ce club !
Je vois mon Maître se lever et s’approcher de moi avec sa chaise. Je ne sais pas pourquoi il prend tout au premier degré. Enfin, puisque cela lui fait plaisir, allons en travers de ses genoux…