LES AVENTURES DE CYRIL
4 épisode - décembre 1998 -
Sa troisième aventure remonte au samedi 5 décembre 1998.
Bonjour, vous vous souvenez de moi ? Je me nomme Cyril et mon maître s’appelle Éric. Nous étions venus à la nuit d’octobre 96. Depuis, à chaque fois, j’ai réussi à dissuader mon ami à venir à vos nuits, non pas que je les trouve ennuyeuses, mais la dernière fois, mes fesses ont été douloureuses pendant une semaine !
Éric avait entendu par des confrères que vous prépariez un second grand repas le 5 décembre. Heureusement pour moi, Projet X organisait leur soirée le même jour et, ayant la
dernière fois opter pour vous, mon maître décidait cette fois-ci d’aller à leur soirée. J’étais donc tranquille car il m’interdit ces fêtes et m’ordonne de rester à la maison avec « Chiffon » notre chat.
Déjà, au premier repas, nous n’avions pas pu venir car son patron, que d’habitude je n’apprécie pas, lui avait demandé d’aller à la chasse dans sa maison de campagne. Heureusement, car sous prétexte que je suis son soumis, que j’ai vingt ans, un physique de minet (comme il dit), les cheveux blonds, les yeux verts en forme d’amande et des fesses glabres et bien cambrées, il voulait que je serve à poil ! Parfois, je trouve qu’il exagère.
Samedi matin, nous nous prélassions donc dans notre lit, lorsque le téléphone raisonna dans le salon. Mon ami se précipite pour décrocher (il a vraiment de jolies fesses). Il revient, se recouche, me regarde, sourit. À ce moment-là, commençant à le connaître, je m’inquiète. Il se penche vers moi, titille mon sein droit, …je sens la grosse catastrophe.



« Tu as de la chance, nous allons à Clef ! »
« Mais ta soirée ? »
« Annulée. »
La salive me reste bloquée au fond de la gorge. Mes fesses se rappellent à moi par des picotements.
« Annulée ! »
« Oui, annulée. Je me lave et je téléphone aux responsables de cette soirée pour leur demander si tu peux
encore être serveur. »
Mais ce n’est pas vrai ! Rapidement je cherche un plan pour éviter cela. Du moins éviter d’être serveur. Non pas que je ne sois pas exhibe, mais je crains surtout que mes fesses ne supportent pas un traitement aussi long. Je vous l’avoue, je n’aime pas la fessée ! (Il en faut bien tout de même !)
…
« Je viens de téléphoner, bon ! Serveur c’est plus possible (mon plan a marché) mais j’ai pu avoir une réservation pour le dîner. »
Ce n’est pas génial, mais c’est mieux. Au moins pendant le repas je ne risque rien.
Nous arrivons vers vingt heures trente. Un magnifique garçon en habit de soirée nous accueille avec un sourire enchanteur. Il me demande de lui tendre son bras, je suis prêt à autre chose s’il veut. Il me met délicatement un tatouage et m’invite à rentrer dans la salle. Mon maître et moi nous retrouvons des amis, des fesseurs et des fessés comme moi. Nous décidons de nous mettre ensemble à une table. La salle est grande, au centre un podium. Les tables sont installées et un menu est posé devant chaque assiette. Les chaises sont pratiquement toutes prises, mon voisin, souvent partenaire lorsqu’il faut tendre nos fesses,
me dit qu’il a entendu que nous étions 140 à ce repas.
Mais les serveurs arrivent avec le premier plat, ils sont tous habillés normalement. Habitué à ce genre de repas, mon voisin me dit que le déshabillage se fait toujours de manière progressive. L’entrée à peine terminée, les lumières s’éteignent et un superbe garçon vêtu à la Borsalino vient sur le podium faire un numéro qui se termine par un nu intégral. Je commence finalement à me détendre et à trouver cette soirée agréable, d’autant qu’une chaude ambiance se crée entre les convives.
Les serveurs sont maintenant torse nu. Le nôtre est très beau, les cheveux rasés, un torse imberbe, il a l’air de s’amuser beaucoup. L’homme au smoking s’approche de notre table pour nous demander si nous voulons passer une commande. Éric prend la carte des menus. Il annonce, en me regardant avec son sourire, des mauvais coups :
« Mon ami et son copain prendront des fesses chaudes du chef à l’OTK. (Fessée de 40 claques, en travers des genoux) et pour finir une salade légère de bambou. (6 coups de
“cane”) ».
C’est alors que nous jetons un regard inquiet sur ce bristol qui se trouve devant nos assiettes. Nous lisons sur la page de droite un repas à la carte qui nous ramène à la réalité de l’endroit : nous sommes à CLEF !
Le nez dans nos assiettes, nous mangeons la suite en pensant que nos fesses vont aussi déguster. Les serveurs sont en slip. Ils viennent s’asseoir devant les tables pour regarder un second garçon habillé en cow-boy qui commence à se dévêtir. Son corps magnifique va de table en table pour se faire caresser. Il termine également par un nu intégral. Un autre complètement nu monte sur une table pour finir sa prestation, pendant que les serveurs nus servent le fromage.
Mais notre tour arrive pour être servi des « plats spéciaux ». Je me retrouve en travers des genoux du président, et mon voisin sur ceux du vice-président, les fesses à l’air pour
l’exécution de la première commande. Les fesses en feu nous rejoignons nos chaises. Mon maître me demande de ne pas remonter le pantalon et de terminer mon repas les fesses nues. « Tu seras ainsi prêt pour la canne » me dit-il en riant. J’admire et regrette parfois son sens pratique.
Soudain, au moment des bûches de Noël, deux mecs en pyjama s’allongent sous un drap sur le podium.
Les portes s’ouvrent devant un père Noël entouré de quatre serveurs complètements nus munis chacun d’un grand martinet noir et de grelots attaché aux couilles. Nous applaudissons tous devant ce spectacle insolite. Dominique et Michel lancent des martinets qui se trouvaient dans la hotte du père Noël. Mon maître arrive pour mon plus grand désespoir à en attraper un au vol (Si cela continue nous allons pouvoir ouvrir un magasin car je ne pourrais pas les user tous !).

Le gogo habillé en père Noël et l’un des garçons en pyjama commencent un numéro qui amène un silence total dans la salle. Je reconnais que l’ambiance, tous ces mecs autour d’eux, les 17 serveurs nus assis devant nous, forment quelque chose de magique qu’il est difficile de décrire. Ils terminent leurs numéros enlacés de manière à mettre en valeur leurs superbes fesses musclées. Les applaudissements prouvent que la prestation a été très appréciée.
Nous nous retrouvons ensuite pour terminer la nuit dans les autres salles. Je ne compte pas les fessées reçues. Mon maître m’a remercié à la fin en me prenant dans un coin sombre en me glissant une fois notre jouissance accomplie, qu’il avait entendu que le samedi 7 mars je pourrais être serveur.
Faut-il que je l’aime pour me dire vivement le mois de mars !