QUELQUES CONTENUS DU MAGAZINE
PRIONS. MES FRERES...
Qui élève bien son fils en tirera satisfaction et parmi ses connaissances il s’en montrera fier.
Un cheval mal dressé devient rétif, un enfant laissé à lui-même devient mal élevé.
Ne lui laisse pas de liberté pendant sa jeunesse et ne ferme pas les yeux sur ses sottises.
Fais-lui courber l’échine pendant sa jeunesse, de crainte que, révolté, il ne te désobéisse et que tu n’en éprouves de la peine.
Elève ton fils et forme-le bien, pour ne pas avoir à endurer son insolence.
(BIBLE DE JERUSALEM)
N’oublions pas Saint Benoît qui a écrit une admirable règle qu’il faut absolument remettre en vigueur dans les écoles:
Chapitre 23
Un frère se montre-t-il entêté, arrogant … s’il ne s’amende pas … Subira un châtiment corporel.
Chapitre 28
Si un frère, souvent repris et même exclu pour une faute quelconque, ne se corrige pas, on lui appliquera une correction plus dure en procédant contre lui le châtiment des verges.
Oui, on peut dire, écrire et proclamer que ce sont les moyens les plus simples qui sont les plus efficaces surtout quand ils ont fait leurs preuves depuis longtemps comme on peut le lire dans la Bible, dans le livre des Proverbes:
– Pr 13-24: Qui épargne la baguette hait son fils, qui l’aime prodigue la correction.
– Pr 23-13/14: Ne ménage pas à l’enfant la correction, si tu le frappes de la baguette, il n’en mourra pas!
Si tu le frappes de la baguette, c’est son âme que tu délivreras du shéol.
– Pr 29-15 : Baguette et réprimande procurent la sagesse, le jeune homme laissé à lui-même est la honte de sa mère.
– Pr 29-17 Corrige ton fils, il te laissera en repos et fera les délices de
ton me.
– Pr 29-19
il n’obéit pas.
On ne corrige pas un esclave avec des mots: même s’il comprend,
Les catholiques reliront également avec fruit les premiers versets du chapitre 30 de l’Ecclésiastique (ou Siriac):
Qui aime son fils lui prodigue le fouet, plus tard ce fils sera sa consolation.
LE MARTINET
Ma naissance fut sans histoire et extrêmement rapide: c’était dans une petite fabrique de la Nièvre. On prit un manche sur lequel on cloua une dizaine de lanières en cuir avec de fines pointes en laiton. on mît autour des clous un morceau de cuir. Cela ne dura pas plus de trois minutes et je fus entreposé avec des centaines de mes frères dans un coin de la manufacture. Plus tard, nous fûmes livrés par dizaines chez divers détaillants et c’est ainsi que je me retrouve accroché dans la boutique d’un droguiste du seizième arrondissement de Paris.
Le temps ne paraît pas aussi long chez les objets et chez les vivants et avec mes congénères nous discutons parfois de notre avenir pour passer un moment. Certains de mes amis espèrent qu’ils ne travailleront pas beaucoup, qu’ils pourront dormir tranquilles dans le fond d’une armoire, servant simplement de croquemitaines dont on menace les enfants quand ils ne sont pas sages. D’autres, au contraire, souhaitent tomber sur des parents sévères, ils veulent se donner à fond à leur métier de fouet au risque d’avoir une vie plus courte. Certains pensent qu’on les utilisera sur des animaux, d’autres sur des tapis pour faire partir la poussière. Quelle sera la destinée de chacun?
Hier. deux copains ont été achetés, le premier par une vieille dame avec un caniche. Le second par un militaire. Ça nous a laissé perplexe ! Allait-il corriger de jeunes recrues? Aujourd’hui. c’est mon tour et je pars dans te sac d’une jolie femme de quarante· ans. Que veut-elle faire de mol? Que va-Hl se passer? Je voudrais être plus vieux de quelques heures…
L’appartement est chouette, assez grand, on entend des cris de disputes, des pleurs.
– Qu’est-ce qu’II se passe encore, les enfants?
– C’est Nicolas et Cédric, Maman, ils n’arrêtent pas de m’embêter.
Nicolas, Cédric. arrêtez d’ennuyer votre soeur!
– Mais c’est pas vrai. c’est elle qui. ..
– Assez!
Nous entrons dans le salon et je fais ainsi la connaissance de Nicolas un garçon d’une quinzaine d’années. un peu boutonneux, assez grand pour son âge, je le trouve plutôt antipathique. Cédric, douze ans. blond lui aussi, il est en culottes courtes et est assez mignon, mais je préfère nettement leur soeur. Chantal, treize ans sans doute, qui ne doit pas facilement s’en laisser conter sous une apparence douce. On me sort du sac, on me montre:
– Je vous préviens que j’ai acheté un nouveau martinet puisque l’autre est fichu. Inutile de vous dire que vous avez tout intérêt à vous calmer…
Elle me pose sur ta table et sort appelée par la sonnerie du téléphone.
– Je vais lui couper les lanières à ce martinet, s’écrie Cédric.
Le petit salopard, il veut ma mort! Et moi qui le trouvais assez mignon, c’est un ennemi. oui ! Je ne le louperai pas.
– SI tu fais çà. je le dirai, menace Chantal.
– T’es dégueulasse. Pourquoi?
– Y a pas de raisons qu’on croit que c’est quelqu’un d’autre.
Elle a raison cette petite, elle me plaît Je ferai tout pour lui faire plaisir et [‘espère que je n’aurai pas trop à la fouetter. Nicolas qui ne disait rien me saisit d’un coup et me Jette à travers la pièce:
– Voila ce que J’en fais, du martinet.
li est fou ce type, Il aurait pu me casser! Lui non plus, il ne faut pas le louper. J’espère vivement que j’aurai souvent à fouetter les garçons de cette famille.
– Tu ferais mieux de le ramasser parce que si Maman le volt par terre, tu vas prendre quelque chose.
– Ramasse-le, toi.
– Et puis quoi encore?
– Si tu ne le ramasses pas , je …
– Vollà Maman!
Vite, Il me ramasse juste avant que sa mère ne rentre dans la pièce. Sauvé cette fols-ci mais il ne perd sans doute rien pour attendre … on me saisit et me met dans un tiroir, je somnole en attendant qu’on vienne me chercher pour travailler. Pourvu que ce soit sur les garçons, ces petits salauds!
Déjà plus de deux mois de passés et je coule des Jours heureux dans cette famille: on ne me réveille pas trop souvent et la plupart du temps c’est pour Cédric. Sa mère vient me chercher dès qu’il a fait une bêtise justiciable du fouet et, à chaque fols, Il nous Joue la même comédie: en nous voyant arriver. Il se met à pleurer, à taper du pied, dis que c’est pas juste, qu’il ne veut pas qu’on lui donne le fouet. Bien entendu, sa mère et mol-même ne sommes pas du tout d’accord avec lui! Elle lui ordonne de se déculotter mais Il fait traîner les choses et nous devons attendre, Maman, Nicolas et Chantal s’ Ils sont là, et mol-même que monsieur veuille bien se mettre cul nu pour recevoir sa punition!
Quand c’est trop long, ce qui est le cas la plupart du temps, nous devons, Maman et mol, user d’arguments cinglants pour précipiter les choses: comme Cédric est toujours en culottes courtes Il est facile de le châtier sur ses jambes nues et Il reçoit une dizaine
de coups en guise d’apéritif … Il sait qu’il n’ a pas trop intérêt à bouger s’il ne veut pas accroître le courroux de sa mère aussi, bien qu’il sautille et plie un peu les genoux pour se protéger, ma tâche n’est pas trop malaisée. Je choisis le côté le moins plat des lanières et sus aux mollets bien ronds du Jeune garçon. Je mords la peau et m’enroule autour des jambes. Je sens les muscles se contracter, le duvet se hérisser… Les Jambes sont plus dures que les fesses, on ne s’y enfonce pas aussi prof on dément mais çà ne veut pas dire que l’on fasse moins mal, au contraire surtout quand le bout de la lanière, après avoir fait le tour du mollet vient heurter la peau violemment.
Alors comprenant enfin qu’il doit obéir, Cédric, dans les larmes, promet tout ce qu’on veut. Sa mère cesse alors de lui fouetter les mollets pour lui laisser le temps de se déculotter. Bien entendu, j’en profite pour me préparer, j’aime bien les fesses Imberbes du gamin et je raidis un peu mes lanières pour que çà fasse plus mal. Maman prend alors son fils sous le bras et lui assène une douzaine de coups qui le font gesticuler et crier bien que ce ne soit pas vraiment méchant parce qu’elle manque de recul… Cédric ne s’y trompe pas et ne cherche pas à se protéger sachant qu’il ne ferait qu’aggraver son cas, aussi la punition se termine-t-elle assez vite et le garçon se rhabille rapidement puis court dans sa chambre tout penaud.
Très rarement, Il arrive que Maman fesse la douce Chantal, mais çà se passe toujours bien. Docile, elle montre plein de bonne volonté et prend un air si contrit que sa mère sait qu’elle
ne pourra pas être sévère. Moi-même, j’assouplis un maximum mes lanières et prend garde à ne pas présenter les bords tranchants. Une dizaine de coups sont donnés rapidement, Chantal pleure un peu pour la forme mais çà ne dure pas longtemps.
Il y a parfois une atmosphère pesante, lourde dans la maison. Très vite j’ai compris ce que çà signifiait: un des garçons, ou les deux. a fait une bêtise et c’est Papa qui sévira. Quand Papa opère, c’est que la faute est grave, c’est donc les garçons qui sont concernés, jamais Chantal. En général. c’est Nicolas; Cédric relevant presque tout le temps, en raison de son jeune âge, de la justice de Maman. La journée se déroule silencieuse, les voix sont feutrées, Nicolas traîne: il sait ce qui l’attend. Moi aussi, et je dois dire que çà me fait rudement plaisir, j’en ris tout seul! dans mon tiroir, attendant impatiemment le soir…
Quand Papa rentre du cabinet, la famille passe rapidement à table et Maman expose les faits. La sentence tombe rapide, sèche, sans appel:
– Tu iras dans mon bureau après le dîner.
Nicolas sait ce que cela signifie: une séance de martinet l’attend en châtiment de la faute, et ce sera sévère … Les convives ne manifestent pas du tout le même entrain pendant le repas. Papa est enjoué, fouetter l’un de ses fils l’a toujours mis de bonne humeur, un peu comme s’il allait faire du sport. Il rit et blague avec Chantal toute heureuse à l’Idée de la correction prévue pour son frère. Maman est plus mitigée. Certes, elle approuve les châtiments corporels mais est triste que son fils doive y passer. Elle a un petit remord en le voyant silencieux et le nez dans son assiette. Cédric, lui, est partagé par des sentiments contradictoires lui aussi approuve le fouet, mais pour les autres mais pas pour lui-même, aussi est-li à la fols ravi et révolté de la punition destinée à son aîné: ravi parce ce n’est pas pour lui et qu’il pense que çà ne peut faire que du bien à cette grande bringue de Nicolas qui l’humilie parfois et révolté par simple solidarité fraternelle et masculine et que si Nicolas est encore fouetté alors qu’il va bientôt avoir seize ans, il a tout lieu de croire qu’il n’en a pas encore fini lui-même avec ce genre de sanction. Enfin, Nicolas, le nez dans son assiette, sans grand appétit, échafaude des plaidoiries fumeuses pour convaincre son père de l’épargner. Devinant que çà ne marchera jamais, li pense à la raclée, à ses fesses qui vont souffrir, caressant le vain espoir que ce ne sera pas trop sévère et que son père se laissera attendrir. Inutile de préciser que moi qui peut parfois lire les pensées, Je jubile dans cette douce attente et que je prépare mes lanières pour mon adversaire.
Le repas est terminé, Nicolas Interroge son père du regard. Qu’espères-t-il ?’
– Dépêche-toi !
– Allez!
Alors, nous allons tous les trois dans le bureau sous les regards intéressés du reste de la famille qui aimerait bien assister au spectacle et dont les deux plus Jeunes membres vont coller leurs oreilles à la porte.
Tu sais ce qui-t- attend?
– Mals, Papa!
– II n’y a pas de Mais. Papa. Déculotte-toi!
– Je suis trop vieux pour çà, Papa!
– Quand on se comporte comme un gamin, on ne doit pas s’étonner d’être puni comme un gamin.
– Je ne me comporte pas comme un gamin…
Bien sûr! Trois en maths et te faire renvoyer du cours pour Insolence, c’est un comportement d’adulte!
Nicolas, dépêche-toi ou çà va très mal se terminer.
Le moment le plus agréable est cet instant où, malgré la plaidoirie, Papa s’est montré le plus fort. Après un moment d’hésitation, Je vois Nicolas, vaincu, baisser son pantalon et son slip. Alors, il se penche sur le bureau et présente bien ses fesses. Généralement. quand tout va bien, Papa donne vingt coups. mais si le garçon est trop douillet la correction peut aller Jusqu’à quarante … Personnellement, je préfère voir Nicolas courageux et stoïque, non pas que je sois paresseux ou sensible bien au contraire mais que je trouve plus excitant de le faire faiblir quand Il est résolu à résister. Je vols çà comme un match sportif et Je considère toute défaillance de sa part sanctionnée par des coups supplémentaires comme une victoire personnelle.
Les fesses sont déjà un peu pollues, elles sont rondes, galbées, agréables à regarder et à fouetter! Les cuisses et les Jambes aussi sont mignonnes et déjà, elles aussi un pollues; Nicolas est un grand adolescent. presque de la taille de son père mais c’est encore un gosse et Je suis heureux de collaborer à son éducation.
Schlack! Le premier coup bien réparti sur les deux fesses. Quelques traces rosées de mes lanières, Je suis content. j’ai bien su mordre l’épiderme et la peau frémit Le garçon ne bronche pas encore mais ce n’est pas fini. Schlack! le deuxième coup. Cette fols c’est surtout la fesse droite qui a pris, le bout de mes tanières advenu heurté le flanc. Ça fait très mal mais l’adolescent reste stoïque. Schlack! Le troisième coup plus à gauche. Les fesses rosissent bien.
« Schlack!
– Ae! Doucement, Papa!
– Tss! Tss!
– Schlack!
– Ouille!
.–
– Schlack!
Nicolas commence à gémir, pleurer. Las, Il se protège tes fesses d’une main, Il sait pourtant que c’est Interdit et la sentence redoutée tombe:
– çà ne compte pas!
Jugeant la docilité préférable à la discussion, Nicolas retire sa main, hélas le coup suivant que j’ai soigneusement préparé, a raison de sa résistance. SCHLACK!I Il crie et se lève en se massant les fesses..
– Remets-tol en position !
– Mals Papa !
– Vite!
Alors, Il obtempère en pleurant tandis qu’est prononcée la phrase tant attendue:
– On repart à zéro!
Nicolas gémit, supplie un peu mais sans Insister. Quel plaisir de voir ces fesses déjà striées, ces muscles frémissant dont Je mate la révolte avec l’aide de Papa. Papa qui ne veut pas que ses fils soient trop douillets, qui n’hésite pas à sévir devant les marques de faiblesse et qui ne craint pas de donner le fouet à ses garçons aussi souvent que nécessaire. Schlack! Schlack! Schlack! Schlack! Quatre coups sur les cuisses, çà fait bien mal! Et puis quatre autres sur les mollets. Nicolas gémit, bouge un peu, les muscles se tendent, la peau se strie. Deux ou trois fols, l’adolescent tente de se relever, de résister mais Papa le rappelle à l’ordre par d’autoritaires « Tsss! Tsss! ». Alors, docile, s’agrippant au bureau, Il présente au mieux ses cuisses et ses Jambes pour que nous continuions à le mâter.
– Parfait, Je vols qu’il y a du progrès. Nous allons finir la fessée!
De lui-même le garçon présente le mieux possible ses fesses à la morsure de mes tanières coriaces. Je sais qu’il sert les dents mais qu’il va essayer de ne pas bouger. D’ailleurs, après les premiers coups toujours assez rudes, Papa, sans doute pour récompenser cette bonne volonté, relâche un peu la pression pour les derniers. La fessée se termine ainsi, dans un fond sonore de reniflements et de gémissements. Nicolas, ensuite, après s’être rhabillé, est envoyé sèchement dans sa chambre. Papa, parfois, avant de me ranger, me regarde Interrogateur comme s’il se demandait si j’avais une âme. SI Je pouvais parler…
* *
C’était Il y a quelques années, Je pensais, quand Cédric réussit son bac, avoir terminé ma carrière et, de fait, Je me retrouvais au grenier. Chantal est venu me chercher hier, c’est elle qui a héritée de la maison … Elle est mariée maintenant, elle a deux fils dont l’aîné à six ans, nous l’avons fouetté pour la première fois. J’ai entendu qu’elle était enceinte, on dit que ce serait encore un garçon …
Bertrand

REVONS (Mois de mai - Foire de Paris)
Chers adhérents, au mois de mai, il se déroule à Paris un salon connu de tous : « La Foire de Paris ». Je sais, vous allez me dire : « Qu’est ce que ça peux nous faire ? » et, surtout, « Pourquoi le Président veut-il nous parler de cela dans notre cher et rare magazine ? ». Tout d’abord, parce ce que je suis toujours en quête d’information qui pourrait vous intéresser : imaginez que je trouve sur un stand un automate à fesser, je suis sûr que le lendemain, cette exposition bat des records d’entrée par des convois de bus venant de partout. Non ?
Bon, je l’avoue, je ne n’ai rien trouvé, même pas de cane anglaise sur le stand de nos amis anglais. Pas un bout de lanière de martinet sur nos stands français. Madame Marache au secours !!! Il n’y a que nos amis africains qui vendent encore sur le stand des fouets. Moi, je vous le dis, nos vaches françaises sont bien tristes de ne plus venir exhiber ainsi leur cuir.
Puis, je me suis amusé à imaginer, à réfléchir (cela m’arrive, même en fessant, vous verrez…) et à conclure que Clef pourrait se trouver dans beaucoup de thèmes de ce salon. Allez, on fait un petit tour ensemble de cette nouvelle « Foire de Paris »…
Commençons par le coin informatique : nous pourrions avoir un stand de présentation des sites de Clef et de TPLF. Nous mettrions un endroit pour que le visiteur puisse passer des annonces, écrire les souvenirs de sa dernière fessée.
Après avoir fait sa confession, le visiteur pourrait visiter le salon de la forme et du bien être. Là nous aurions des stands de fessée à la minute car, c’est connu, la fessée est une thérapie (tant pour le fessé que le fesseur) et elle peut entrer dans la catégorie des médecines naturelles (évitons le terme de « médecine douce » pour ne pas frustrer les amateurs de punitions sévères ). Pour les rares qui ne sont pas calmés après une fessée, des salons de massage seraient à leur disposition.
Une fois le corps bien reposé, calmons les estomacs en allant déguster une soupe d’orties dans le salon de la gastronomie. Le visiteur de goût choisira la royale (orties ayant servi juste avant). Une fois rassasiés de ce repas biologique, allons regarder les derniers meubles au salon de l’ameublement.
Là nous trouverions sur notre stand le dernier pilori, la croix de saint André en chêne massif avec ses chaînes en argent, le tabouret à fesser réglable, la cage à monter soi même, le lit pour l’esclave, etc. Une fois achetés ces petits meubles, visitons l’appartement témoin avec son donjon, sa pièce décorée en salle de classe, ou sa chambre style dortoir militaire.
Il n’est pas possible de venir à la Foire de Paris sans passer par le salon de l’artisanat. Là nous aurions l’atelier de Pierre, avec sa boite pour fabriquer soi même en famille son martinet ou sa tawse, acheter un petit bijou pour son compagnon (menottes, pinces à sein…).
Le salon littéraire avec le stand comportant les livres sur notre sujet, la collection complète de Fessée Magazine et, modernité oblige, des stands sur les vidéos (TPLF mais aussi Control T, Men’s hand…).
Avant de terminer cette visite, décidons du prochain voyage en allant découvrir les spécialités des pays étrangers. L’Angleterre et son éducation avec la célèbre cane, l’écosse et les kilts soulevés pour la tawse en cuir, les fraternités américaines et leur paddle…
Je suis persuadé que cette liste de stand pourrait être encore plus longue, mais il est temps de rentrer pour administrer une fessée. Amusez-vous à inventer comme moi des stands dans d’autre salon et envoyez-nous le résultat de vos cogitations.
D (0023)
